Avec 60 milliards d’économie sur les services publics, Macron poursuit sa croisade contre notre modèle social. Le combat des cheminots est central dans ce contexte. Contre Macron le président des riches, il faut soutenir leur lutte car ils se battent non seulement pour que le rail continue à nous appartenir mais aussi pour défendre tous les services publics.

Après les mobilisations du 1^er mai et du 5 mai, il faut multiplier les actions et converger dans les prochaines échéances. La journée de grève dans la Fonction publique le 22 mai est appelée par l’ensemble du mouvement syndical. Elle peut mobiliser très au-delà, dans le privé, mais aussi les usagers, les chômeurs, la jeunesse, les retraités.

Chaque mobilisation doit nourrir les suivantes vers un tous ensemble pour stopper Macron.

Mobiliser et se rassembler 

Tous les salariés le savent : quand il y a unité syndicale, c’est plus facile de lutter. Au plan politique à gauche, il en va de même : sans unité, rien de grand n’est possible ! 9 organisations de gauche, dont la Gauche démocratique et sociale (GDS), ont tenu un meeting unitaire et adopté un texte commun « Défendre tous ensemble le service public ferroviaire ».  C’est la voie à suivre. Le néo-libéral Macron n’est fort que de nos divisions !

Les aspirations sont communes, les réponses doivent l’être.

• Une extension des services publics à tous les besoins sociaux humains (eau, énergie, transport, logement, transition écologique …).
• Une sécurité sociale universelle avec une extension de son champ pour l’autonomie de la jeunesse, pour la sécurité sociale professionnelle, pour la dépendance …
• Des droits et libertés démocratiques étendus pour l’accueil des migrants, pour la citoyenneté, pour une constituante.

Ces trois piliers : c’est la République Sociale que nous voulons !